Un mois pour se faire entendre

Je suis allé sur le site du gouvernement http://www.assisesdunumerique.fr/ pour ouvrir une discussion sur le livre numérique grand absent des 27 propositions. C'est l'occasion de nous faire entendre, un peu. Profitons-en. On ne pourra pas dire on ne savait pas. Voici ce que j'ai écrit, juste pour amorcer.


Les Américains et les Asiatiques vont encore nous envahir avec leur e-books. Pour le hardware c'est plié, je ne vois vraiment pas comment Nemoptic peut rentrer dans la valse avec quelques chances de succès. Du côté des outils tout reste à faire. L'auteur en herbe, débouté par les éditeurs, se heurte à l'abscence d'une panoplie de programmes lui permettant de devenir son propre éditeur.De plus on est loin de posséder des outils réellement adaptés à une écriture hypermédia, une Start up peut venir assez facilement chatouillée Adobe et Canon sur ce terrain (je peux l'aider pour le cahier des charges :-).Autre chantier, la fiscalité et la reconnaissance du e-codex sans parler des droits d'auteurs sur les images et les musiques associés à l'ouvrage. Dans cet ordre d'idée il ne faut pas croire que l'industrie du disque est hors du contexte, Hespérion XXI et la Glossa nous proposent des productions à 3 ou 4 milles exemplaires pourrait être multipliées par 5 ou 10. J'évoque l'impacte écologique pour ouvrir le débat, car le livre est gros consommateur de papier.J'évoque dans le désordre et sans trop savoir pourquoi, la francophonie et les bibliothécaires , les cartables à l'école et la régression de la lectures des quotidiens, mais je m'arrête là. A vous de prendre le relais

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