Je n'avais pas vraiment percuté sur l'article 5 de la loi "prisunic".
Article 5
(Non modifié)
Pour définir la remise commerciale sur les prix publics qu’il accorde aux personnes proposant des offres de livres numériques aux acheteurs situés en France, l’éditeur, tel que défini à l’article 2, tient compte, dans ses conditions de vente, de l’importance des services qualitatifs rendus par ces derniers en faveur de la promotion et de la diffusion du livre numérique par des actions d’animation, de médiation et de conseil auprès du public.
Nlle proposition
«Lorsqu'une œuvre étant publiée sous forme imprimée est commercialisée sous forme numérique, la rémunération de l'auteur au titre de l'exploitation numérique est fixée en tenant compte de l'économie générée, pour l'éditeur, par le recours à l'édition numérique. »
Son amendement par le Sénat est une bonne chose pour les auteurs pouvant toquer à la porte de l'éditeur et lui proposé un 50/50 sur les gains attendus d'une économie numérique: "Mais vous n'y pensez pas, c'est ma mort si je vous écoute et blablabla et blablabla"
Aux auteurs de se défendre.
La première partie est aussi très intéressante, j'ai le droit comme éditeur de discriminer: "Vous plate-forme de diffusion lambda ne voulant pas mettre en avant ma spécificité hypermédia je ne vous octroie que 25 %.
Pour Apple c'est 30 % car eux font un effort en distinguant, l'oeuvre homothétique de l'oeuvre enrichie.
Et si ils me demandent 5 points de plus je leur accorde.
Tu parles avec 1 million d'Ipad 2 vendu en 4 ou 5 jours, c'est autant de suspects pour l'iBook Store. Ce n'est pas un service qualitatif, mais je m'en fous."
C'est beau de rêver.
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