Elle s'appelle Mirela Popa, une photographe, l'une de ses spécialité : la prise de vue d'oeuvres d'art.
Sa visite chez Le Chat Chez qui j'Habite me permets de lui montrer mon travail dans le parc de cette maison d'hôtes. Son commentaire à propos du Mur Aux Chats : trop bavard.
Pertinence d'un oeil externe, pertinence d'une formule sue inconsciemment mais tue.
Je vais donc démonter les miroirs DS pour laisser un espace entre 628-8 et Exode 31-2.
Au cours de notre bavardage elle aborde des références d’autres plasticiens, connus des spécialistes et du marché de l’art, pour comparer ma démarche, mon travail.
Je n’en connais aucun et lui avoue m’en foutre complètement, ma position au fin fond du pays de Caux me préserve du bruit autour de la tribu des artistes renommés et de leur travail. En contrepartie n’appartenant pas au clan, les portes de toutes les galeries de France et de Navarre restent fermées.
J’en parle avec Tosca, ma sacrée de Birmanie, elle s’en fout royalement, je prends note.
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