Gili Meno l'île de la désolation..
Si Bali connaît un vrai problème avec les détritus, ce n'est rien à côté de Gili Meno.
Aux ruines du séisme de 2018 s'ajoutent, la pandémie du Covid un an après.
Plus de tourisme, plus d'argent, et quand on a tout perdu, l'envie de revenir sur les lieux du drame, l'énergie nécessaire à la reconstruction n'existent plus.
La désolation et l'insalubrité plongent le visisteur dans un spleen peu commun sous les tropiques, les déchets laissés par les locaux aux seuils des maisons,sur des terrains en friche, n'arrangent rien.
Seul un photographe à l'oeil urbex peut tirer profit de ces lieux dévastés.
Il faudra encore des années avant un retour au bonheur.
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