Les Guides de d'Ormesson

Dans une interview au Figaro l'académicien nous livre : " je me suis beaucoup promené dans Rome avec deux guides différents: Chateaubriand et Stendhal"
Je n'ai pas encore visiter Rome, mais pour ma part je serais avec Léonard, Michel-Ange, leurs amis et leurs ennemis, leurs œuvres et leurs bassesses. Et franchement sur ces lieux nos deux romanciers ne font pas le poids. C'est çà les Guides MAF.
Revenons quelques instants sur la critique du même journal au sujet d'un guide pour l'élite (voir plus bas.) Évidemment, malheureusement, la cible du commentaire du sociologue interrogé n'était pas mes ouvrages hypermédia, mais le Guide Rouge.
Il n'empêche, j'ai trouvé qu'il existait des points communs :
- La machine coûteuse : la voiture/l'ardoise de lecture (c'est pas du même niveau mais c'est un sérieux frein)
- La maîtrise mécanique et celle de la technique (télécharger, surfer, lire tout le monde sait le faire ? Eh bien non. Même les plus branchés d'entre nous peuvent rencontrer parfois des problèmes insurmontables: passer ses ouvrages d'une ardoise à l'autre par exemple)
- Un guide de l'élite, c'est un "reproche" que certains de mes lecteurs m'ont adressé, bien que je m'en défende.
Il faut effectivement faire un effort certain pour découvrir Florence avec Léonard et Brunelleschi, mais ils nous avaient prévenus.
Si vous refusez cet effort je vous laisse avec le Routard ses poncifs, ses cocktails et ses plumards.

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