Argent / Amazon /Auteurs
A 9$99 pour un livren, Amazon perd de l'argent sur chaque titre vendu.
Alors pourquoi tirer sur l'ambulance ?
Si les éditeurs ne jouent pas le jeu du concepteur du Kindle et si celui-ci communique assez mal ou pas du tout sur cet aspect des choses, les consommateurs devraient quand même réfléchir un peu avant de le vouer aux gémonies quand il augmente le prix des livrels.
Je rappelle par exemple qu'il est interdit en France de vendre à perte, ce qui semble être le cas du distributeur de Seattle. Mais il faut peut-être aller plus loin, savoir s'il n'existe pas des marges arrières, des contrats de coopération etc..Pour commencer à en savoir plus http://www.publishersweekly.com/article/CA6657272.html
Encore une fois la valeur d'un livre numérique peut s'évaluer de plusieurs manières, mais raisonner en comparant papier et fichier conduit à des erreurs. Si il n' y avait pas ( ou plus) de papier comment ferait-on ?
Les auteurs devraient profiter de cette période de grand trouble qui pointe son nez pour renégocier leur part du gâteau, notamment sur la version numérique. 7 ou 10 % pour le géniteur d'une œuvre c'est pas beaucoup, ils valent mieux.
Alors pourquoi tirer sur l'ambulance ?
Si les éditeurs ne jouent pas le jeu du concepteur du Kindle et si celui-ci communique assez mal ou pas du tout sur cet aspect des choses, les consommateurs devraient quand même réfléchir un peu avant de le vouer aux gémonies quand il augmente le prix des livrels.
Je rappelle par exemple qu'il est interdit en France de vendre à perte, ce qui semble être le cas du distributeur de Seattle. Mais il faut peut-être aller plus loin, savoir s'il n'existe pas des marges arrières, des contrats de coopération etc..Pour commencer à en savoir plus http://www.publishersweekly.com/article/CA6657272.html
Encore une fois la valeur d'un livre numérique peut s'évaluer de plusieurs manières, mais raisonner en comparant papier et fichier conduit à des erreurs. Si il n' y avait pas ( ou plus) de papier comment ferait-on ?
Les auteurs devraient profiter de cette période de grand trouble qui pointe son nez pour renégocier leur part du gâteau, notamment sur la version numérique. 7 ou 10 % pour le géniteur d'une œuvre c'est pas beaucoup, ils valent mieux.
Commentaires
Et aussi, un article sur le Kindle grand format qui semble séduire la presse.
IS