Le DX sauveur de quoi ?
Le Dx sauveur de la presse ? Ou exprimer autrement: le numérique sauvera-t-il ce qu'il détruit dans un premier temps (en admettant que la presse ne se détruise pas elle même avec les couacs du genre Wikipédia/Jarre, ou les fausses découvertes : l'oreille de Van Gogh coupée par Gauguin, on en parlait déjà il y a dix ans) ?
Ce qui vaut pour la presse, vaut pour la musique (- 18 % de ventes au 1er trimestre et quasi stagnation des téléchargements légaux qui sont en grande majorité des sonneries pour portables) et demain le livre. A ce stade sans avoir les chiffres entre les mains on en est réduit aux hypothèses.
Combien faut-il vendre de DX et d'abonnements pour sauver le NYT ? La réponse est sûrement connue, mais pas de moi.
Combien d'emplois seront-ils détruits avant un retour à l'équilibre ?
Idem pour le livre. Si le nombre de livrels vendus augmentent, celui des versions papier diminue forcément, et la marge également. Et par les temps qui courent , sur un TB pour compenser une diminution de la marge on ajuste les frais de salaire en augmentant le nombre de demandeurs d'emploi.
Quels sont les métiers qui vont disparaître (RV qui connaît bien le secteur a peut-être une réponse) et ceux qui vont apparaître ? Libraires VS Plate-forme, e-pub agencie VS imprimeurs, PVI VS Chapelle d'Arblay etc (Pourquoi les papetiers n'investissent-ils pas dans le e-paper?)
On glose sur les nouveautés, moi le premier, mais quels en sont les impacts ?
Les éditeurs sont sur la défensive, on les comprend. Il semble bien aujourd'hui que le livre électronique et numérique soient sur la bonne rampe de lancement, même si la France est un peu frileuse.
Cette créativité de l'électronique, le conteneur, sera accompagnée d'une créativité du contenu. La question est: qui en seront les acteurs ? Le NYT, ou le E-NYT (Amazon comme actionnaire majoritaire), Hachette ou France Télécom, les guides Michelin ou les Guides MAF ;-) sans oublier Google, Apple et les asiatiques (Samsung et les chinois).
La numérisation redistribue les cartes, Itunes en est le meilleur exemple. On a , je n'ai pas, encore très bien mesuré l'accord Google/Sony, premiers coups de semonce pour une guerre où les acteurs traditionnels, les éditeurs, les imprimeurs risquent d'être ravalés au rang de spectateurs.
Ce qui vaut pour la presse, vaut pour la musique (- 18 % de ventes au 1er trimestre et quasi stagnation des téléchargements légaux qui sont en grande majorité des sonneries pour portables) et demain le livre. A ce stade sans avoir les chiffres entre les mains on en est réduit aux hypothèses.
Combien faut-il vendre de DX et d'abonnements pour sauver le NYT ? La réponse est sûrement connue, mais pas de moi.
Combien d'emplois seront-ils détruits avant un retour à l'équilibre ?
Idem pour le livre. Si le nombre de livrels vendus augmentent, celui des versions papier diminue forcément, et la marge également. Et par les temps qui courent , sur un TB pour compenser une diminution de la marge on ajuste les frais de salaire en augmentant le nombre de demandeurs d'emploi.
Quels sont les métiers qui vont disparaître (RV qui connaît bien le secteur a peut-être une réponse) et ceux qui vont apparaître ? Libraires VS Plate-forme, e-pub agencie VS imprimeurs, PVI VS Chapelle d'Arblay etc (Pourquoi les papetiers n'investissent-ils pas dans le e-paper?)
On glose sur les nouveautés, moi le premier, mais quels en sont les impacts ?
Les éditeurs sont sur la défensive, on les comprend. Il semble bien aujourd'hui que le livre électronique et numérique soient sur la bonne rampe de lancement, même si la France est un peu frileuse.
Cette créativité de l'électronique, le conteneur, sera accompagnée d'une créativité du contenu. La question est: qui en seront les acteurs ? Le NYT, ou le E-NYT (Amazon comme actionnaire majoritaire), Hachette ou France Télécom, les guides Michelin ou les Guides MAF ;-) sans oublier Google, Apple et les asiatiques (Samsung et les chinois).
La numérisation redistribue les cartes, Itunes en est le meilleur exemple. On a , je n'ai pas, encore très bien mesuré l'accord Google/Sony, premiers coups de semonce pour une guerre où les acteurs traditionnels, les éditeurs, les imprimeurs risquent d'être ravalés au rang de spectateurs.
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