Dossier sur le livre numérique de gauche, vue de gauche
2 où 3 articles assez creux, sauf si béotien vous êtes sur le sujet auquel cas vous apprendrez peut-être quelque chose, pourtant les titres sont alléchants jugez :
- Prix du livre numérique : s'accrocher au connu au risque de se tromper
- Un livrel n’est pourtant pas un livre
Mais la lecture s'avère plutôt décevant si bien que je n'ai pas eu le courage de lire celui sur le contrat d'édition, celui sur le droit d'auteur obsolète datait déjà.
Une phrase quand même dans le lot, celle de Constance Krebs : Mais la fiction ? mais la poésie ? Comment les éditer ? Eh bien, en suivant les indications de l’auteur, pardi – comme on a toujours fait.
Cool, mais l'auteur quand on lui expose les contraintes des balises XML, il retourne à ses textes et laisse se débrouiller les techniciens. C'est sûr travailler avec Breton ou Bram Stoker, c'est facile, ils n'ont plus grand chose à dire sur la chose.
Concernant le prix du livre numérique unique et bas ou pas cette phrase de saint Antonin (1389-1459) évêque de Florence pour faire réfléchir à la chose: Les peintres prétendent, avec plus ou moins de raison, être payés pour leur art non seulement en fonction de la quantité de travail qu'il implique, mais plutôt selon le degré de soin qu'ils y ont mis et selon leur expérience.
Une oeuvre n'est ni un fichier, ni un livre (au sens codex), ni une tablette (au sens argile), mais des heures, des mois, voir plus de travail, des années de lectures, d'écritures, de doute, de questionnement, des litres de bière, des kilos de riz, sans parler du caviar, des paquets encore et encore de café. Et tout cela qui doit le payer ?
Toi lecteur ;-))))
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