KHO YAO YAI
Un plage de sable blanc sur une île en face de Pukhet. Un soleil de plomb et un complexe hôtelier complètement dingue avec des navettes pour aller du centre névralgique du "village" vers votre chambre.
Au début ça fait peur, ensuite on essaie d'apprécier l'intelligence et le goût du concepteur pour une décoration toute de bois sculpté. Pas toujours facile.
Je n'y resterais pas des semaines, mais le lieu emprunte sa magie aux paysages alentours, l'île de l'Homme au pistolet d'or par exemple, pour les fans de Bond, la végétation luxuriante, les bleus de la mer, le noir des roches volcaniques.
En louant un scooter on roule parmi des villages aux maisons de toutes les couleurs, souvent criardes, entourant une mosquée. Il reste par-ci par-là des ruines du tsunami et des lieux de désolation.
Sur la plage, parmi d'autres touristes je me souviens de ces petites querelles des anciens, au sujet de la lisibilité au soleil des écrans équipant les iPads et autres tablettes versus celle des liseuses, genre Kindle.
Eh bien sur les transats de Thaïlande le papier reste roi, fou, quand les compagnies aériennes chassent le moindre gramme de vos bagages, fou quant on connaît la nocivité de l'astre roi, lire au soleil je trouve cela toujours autant débile.
Au début ça fait peur, ensuite on essaie d'apprécier l'intelligence et le goût du concepteur pour une décoration toute de bois sculpté. Pas toujours facile.
Je n'y resterais pas des semaines, mais le lieu emprunte sa magie aux paysages alentours, l'île de l'Homme au pistolet d'or par exemple, pour les fans de Bond, la végétation luxuriante, les bleus de la mer, le noir des roches volcaniques.
En louant un scooter on roule parmi des villages aux maisons de toutes les couleurs, souvent criardes, entourant une mosquée. Il reste par-ci par-là des ruines du tsunami et des lieux de désolation.
Sur la plage, parmi d'autres touristes je me souviens de ces petites querelles des anciens, au sujet de la lisibilité au soleil des écrans équipant les iPads et autres tablettes versus celle des liseuses, genre Kindle.
Eh bien sur les transats de Thaïlande le papier reste roi, fou, quand les compagnies aériennes chassent le moindre gramme de vos bagages, fou quant on connaît la nocivité de l'astre roi, lire au soleil je trouve cela toujours autant débile.
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