Un outil d'IA sabordé par Apple
Un titre racoleur pour une intelligence restant à prouver mais l’expérience d'IA démontre comment chez Apple on bousille de bons produits au nom d’un marketing de masse. Bons produits au pluriel car Steve Wozniak, le cofondateur de La Firme, disait la même chose à propos de SIRI acheté par une société tierce.
Ibooks Author, IA, était un outil fantastique pour les nuls en code XML ou je ne sais pas quoi, en production de livres numériques hypermédia.
Le logiciel est apparu comme un OVNI lors du lancement de l'Ipad.
Parfait, il convenait à tous les abrutis dans mon genre plutôt branchés contenu et non code. Il suppléait à notre ignorance et ouvrait de nouvelles voies. Une définition restreinte de l’intelligence car IA ne peut s’adapter à toutes les demandes, situations.
Jobs vivait avec quelques années d'avance sur tout le monde et pressentait un nouveau livre pour les écoliers, et des romanciers un peu moins obtus, capables d'aborder d'autres rivages.
Hélas IA faisait de l'ombre à Pages, le traitement de textes merdique d’Apple. Les querelles de clochers existent partout même à Cupertino. C’est là où le bat blesse. L’intelligence des uns froisse la connerie des autres, et cette dernière étant la mieux partagée il suffit de trouver au sein des dirigeants de La Firme un alter ego pour mettre fin au programme.
Et les programmes abandonnés par Apple sont légions.
Pour montrer combien on se foutait des utilisateur d’IA on commença par inclure un bel outil de censure sur tous les contenus multimédia, images, vidéos, musiques sans aucun discernement, puis on fit croire à un transfert sans douleurs vers Pages. Un mensonge éhonté, votre livre n’a plus de couverture, et certaines fonctionnalités manquantes l’ampute de son contenu.
IA est mort, SIRI n’est qu’un outil de bas de gamme dont on peut se passer et l’IA des nouveaux iPhones, si celle-ci existe vraiment, devient discriminante eu égard le fric demandé.
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