Darnton bis
En furetant sur le net trouvé un extrait du nouveau pamphlet de Darnton sur Challenges.
Au secours du livre papier Bill Gates avouant ne pas lire plus de 4 ou 5 pages sur un écran. Il me semble avoir lu d'autres propos sur ce sujet de la part du monsieur, mais là n'est pas la question.
Le choix du témoignage n'est pas innocent, il faut du lourd pour écarter la menace, car menace il y a. Pour le papier certes mais aussi pour ceux dont la culture est liée à ce support depuis des décennies elle n'est pas fantôme.
La littérature numérique n'existe pas encore mais la pénétration des supports, et des tablettes notamment, amène tous les professionnels de l'écriture à se poser des questions, à lutter contre ses peurs.
Car peur il y a.
Elle habite les journalistes , ils ont en prime Wikileaks sur le dos faut dire, elle habite certains écrivains ou écrivaines, des éditeurs.
Pourquoi ?
Manque de visibilité et manque de temps.
Les choses se sont accélérées, et la prise de conscience va augmentant.
Alors se pose la question du comment.
Comment vais-je me positionner, comment prendre cette déferlante sans trop en connaître les paramètres?
Je n'en sais rien, alors en attendant je nie la possibilité d'un tel changement, je l'ignore.
Mais tenace la chose insiste alors je la combat cherchant ça ou là des appuis, ou je l'apprivoise, plus difficile.
Visiblement nous sommes en phase 2 pour la grande majorité des non pionniers.
Voilà pourquoi Bill est rappelé en renfort, et Darnton et tous ceux, en apposant un filtre sur leurs écrits, pouvant me servir de bouclier.
Perte de temps.
Au secours du livre papier Bill Gates avouant ne pas lire plus de 4 ou 5 pages sur un écran. Il me semble avoir lu d'autres propos sur ce sujet de la part du monsieur, mais là n'est pas la question.
Le choix du témoignage n'est pas innocent, il faut du lourd pour écarter la menace, car menace il y a. Pour le papier certes mais aussi pour ceux dont la culture est liée à ce support depuis des décennies elle n'est pas fantôme.
La littérature numérique n'existe pas encore mais la pénétration des supports, et des tablettes notamment, amène tous les professionnels de l'écriture à se poser des questions, à lutter contre ses peurs.
Car peur il y a.
Elle habite les journalistes , ils ont en prime Wikileaks sur le dos faut dire, elle habite certains écrivains ou écrivaines, des éditeurs.
Pourquoi ?
Manque de visibilité et manque de temps.
Les choses se sont accélérées, et la prise de conscience va augmentant.
Alors se pose la question du comment.
Comment vais-je me positionner, comment prendre cette déferlante sans trop en connaître les paramètres?
Je n'en sais rien, alors en attendant je nie la possibilité d'un tel changement, je l'ignore.
Mais tenace la chose insiste alors je la combat cherchant ça ou là des appuis, ou je l'apprivoise, plus difficile.
Visiblement nous sommes en phase 2 pour la grande majorité des non pionniers.
Voilà pourquoi Bill est rappelé en renfort, et Darnton et tous ceux, en apposant un filtre sur leurs écrits, pouvant me servir de bouclier.
Perte de temps.
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