Un malus sur les livres papier
Un malus sur les livres papier.... pourquoi pas ?
Pas sur tous les lives évidemment, mais sur ceux libres de droits dont les éditeurs usent et abusent pour générer un chiffre d'affaire facile sans rétribution... aux auteurs décédés depuis longtemps.
Ce malus pourrait être partagé avec l'imprimeur et le brocheur.
A quoi servirait-il ?
A rétribuer justement des auteurs hypermédia, dont les revenus sont misère, et financer des projets.
On pousserait ainsi le curseur l'exception culturelle, chère à tous, d'un cran, pour proposer aux lecteurs munis d'une tablette une lecture décloisonnée.
Cette mesure inciterait peut-être aussi à faire bouger les lignes d'une profession ultra conservatrice, misonéiste.
J'en veux pour preuve ce taux de TVA ramené à l'égal de celui du papier il y a quelques années.
Les maisons germanopratinoises s'engageaient, à l'instar des restaurateurs pour les repas, à baisser le prix de l'Ebook pour en assurer la croissance, histoire de ne pas passer pour des ringards face aux Japon, aux USA, à l'Espagne.
F. Mitterand les a entendus, Bruxelles aussi, mais ils n'ont évidemment pas fait grand chose, à peine répercuter la baisse du taux sur le prix de vente, et surtout continuer à ne pas innover.
Pas sur tous les lives évidemment, mais sur ceux libres de droits dont les éditeurs usent et abusent pour générer un chiffre d'affaire facile sans rétribution... aux auteurs décédés depuis longtemps.
Ce malus pourrait être partagé avec l'imprimeur et le brocheur.
A quoi servirait-il ?
A rétribuer justement des auteurs hypermédia, dont les revenus sont misère, et financer des projets.
On pousserait ainsi le curseur l'exception culturelle, chère à tous, d'un cran, pour proposer aux lecteurs munis d'une tablette une lecture décloisonnée.
Cette mesure inciterait peut-être aussi à faire bouger les lignes d'une profession ultra conservatrice, misonéiste.
J'en veux pour preuve ce taux de TVA ramené à l'égal de celui du papier il y a quelques années.
Les maisons germanopratinoises s'engageaient, à l'instar des restaurateurs pour les repas, à baisser le prix de l'Ebook pour en assurer la croissance, histoire de ne pas passer pour des ringards face aux Japon, aux USA, à l'Espagne.
F. Mitterand les a entendus, Bruxelles aussi, mais ils n'ont évidemment pas fait grand chose, à peine répercuter la baisse du taux sur le prix de vente, et surtout continuer à ne pas innover.
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