Méga araignée... quoique
Tosca se fout du capot de la Type e et des calandres de Daimler, comme Google se fout de Blogger. Elle est repue, fait sa toilette et restera sur son perchoir à regarder le couché de soleil.
Un peu d'eau jetée sur le capot, pour la rouille, et le hasard dessine une belle arraignée. Louise l'a vois-tu ?
Demain c'est meuleuse et aujourd'hui lecture du pamphlet de la nouvelle plume du Figaro : Benjamin Olivennes, le nouveau Albert Wolff, le pourfendeur de l'Impressionnisme.
Dans ce genre d'ouvrages le raccourci est de rigueur et la thèse ne laisse guère de place à l'anti-thèse. J'ai aussi écouté son interview sur France Culture par Finkielkraut, personne pour contrarier un peu ses propos.
Les philosophes me cassent les couilles, ils ont toujours quelque chose à dire sur n'importe quoi, brillament, mais connement. Un exemple Giotto, comment Giotto et Dante pouvaient-ils connaîtrent les portraits de Fayoum ? Comment reproché au second de voir en son ami un inventeur au regard des primitifs italiens, des mosaïstes grecs ?
Depuis des lustres ils, les philosophes, rêvent de prendree les rênes du pouvoir politique, culturel avec toujours les mêmes références et le même résulutat : que dal. Vivement que l'on casse le moule, pour lire et entendre autre chose.
Commentaires