Disques, disques ou disques ?
Avant, pour moi, un disque équivalait à un certain nombre de pleins de ma Bleue (un vélomoteur), un choix entre le plaisir d'écouter un vinyle sur mon tourne disque, puis ma platine, ou d'aller au lycée ( de nombreux cours séchés, je regrette). Un nouveau Doors ou Who me rendait dingue.
Ensuite il s'agissait d'équiper des PC avec un support magnétique plus performant pour notre logiciel de devis dédié aux producteurs de films pub. Le premier faisait 5 MO. J'adorais ouvrir le capot d'un IBM PC, ajouter de la RAM, connecter le fameux disque via sa carte interface. J'ai fait ça pendant une dizaine d'années pour booster less performances des PCs et faire de Lotus 123 un outil performant.
Maintenant, je choisis un disque doit faire 2mm d'épaisseur pour découper ou 5 mm pour meuler. J'aime moyennement.
Le but ? Désolidariser les ailes du capot d'une Jaguar Type-e. Cette voiture me rend dingue et sans outillage, impossible d'en faire un pot de fleurs, pour reprendre le commentaire d'une ancienne maîtresse toujours vénère visiblement, ou une oeuvre d'art.
Commentaires