En y réfléchissant pas mal, le terme métafuturisme ne colle pas à mon travail. Je ne vais pas au-delà du futurisme, j'adopte ses principes sans les moderniser, un comble, les adapter à l'ère du numérique. Je suis analogique et le resterai. Enfant de la vitesse, de la puissance et de la violence, comme nombre d'entre vous, je n'exprime pas celles-ci via l'électronique et l'informatique. J'erre plutôt entre un rétro-futurisme et un art conceptuel ravivant notre mémoire pour explorer notre monde d'aujourd'hui, toujours adepte de la violence, de la puissance et de la vitesse.
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