Minimalisme, de Bali à New York en passant par Londres

J'ai adoré Philipp Glass pendant longtemps, puis son copier/coller systématique finit par me lasser. En allant à Bali, j'avais en tête Debussy mais au temple de TAO les minimalites Américains revinrent en force aux sons du gamelan. La répétition me transporte, à l'exemple du Largo du concerto pour 4 clavecins de Bach BW1065. Je connaissais Britten pour avoir écouter ses Carols à Westminster, sans être un fan mais quand même intrigué par le personnage. Au cours d'une lecture je le vois s'aventurer sur l'île du premier matin du monde et croiser Colin Mcphee. Je creuse un peu la question et commande sur Rakuten un disque paraît-il introuvable selon Denisa Kershova. L'animatrice de France Musique en écoutant Tabuh-Tabuhan composé en 1935-36 entend Glass, j'entends plutôt Reich. Mais là n'est pas la question, en écoutant une nouvelle version des morceaux du duo Britten Mcphee l'empathie artistique, selon Lemarquis, vous prend, on repart à Ubud ou Sidemen en moins de deux. C'est magique. Si vous souhaitez écouter un peu de Gamelan je vous propose le site baliméditation.fr

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