Si IziBook avait raison

Un courrier ce matin concernant les nx tarifs d'IziBook pour vendre notre production littéraire en directe.
Le blème avec les plateformes c'est le bruit.
Pour qu'une librairie survive il lui faut des nouveautés encore et encore et des références toujours plus.
Et vous là-dedans, eh bien après votre jour de gloire, si vous l'avez connu, vous êtes ramené au rang des anonymes.
C'est la loi du genre.
Alors la tentation est grande d'aller voir autre-part.
De faire ce que bon vous semble, de bouclez la boucle : création, édition, vente (s).
Je n'ai pas encore plongé.
39 € par mois, une misère ou presque, mais c'est encore trop cher quand on investit tout dans les livres et le matos.
La solution pour l'auto-édition serait un pourcentage équivalent à celui laissé aux libraires.
Mais chez IziBook on est pas enclin.
Dommage.
D'autres semblent s'accommoder du modèle proposé. Le nombre de références est en augmentation. Tant mieux.
Quand un centaine d'éditeurs auront fait ce choix, on verra forcément d'autres acteurs entrer en lice, et Immateriel, Epagine ou Ikiosque réfléchir à d'autres pistes.

Commentaires

Anonyme a dit…
Il existe aussi 2 points réconfortant avec l'offre IziBook : tout d'abord l'éditeur n'est plus obligé de choisir entre vendre en direct et diffuser. Et d'autre part il y a enfin des vrais acteurs professionnels de l'informatique (et non de l'édition) qui se penchent sur notre activité d'éditeur et de libraire. C'est assez rare pour être noté.

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