Un nouvel annonceur : Les Champagnes Boude & Baudin

 

Du Champagne  dans un guide sur Giverny et Monet, quel rapport ?

Eh bien il faut lire Mark Rothko, La Réalité de l'Artiste, et Théodore Robinson pour mieux comprendre. 

Je me range sous sa bannière du premier, flamboyante. Si Rothko c'est du lourd aujourd'hui,  hier c'était du léger, très léger, alors las il écrit  : Il est hors de doute que l'artiste, en tant qu'homme, est tout à la fois changé et influencé par son milieu. Les facteurs environnementaux qui impriment leur marque sur lui et sur ses actions sont infinis... 

Infinis, à l'exemple de Michel-Ange échangeant des sonnets contre des bouteilles Trebbiano, un cépage italien doucereux, 

Infinis à l'exemple de Monet se décarcassant pour envoyer des fruits de mer à son épouse lors de ses séjours à Etretat ou Pourville.

Infini ce dimanche de noces où l'on boit du champagne dans l'atelier n°1 de Giverny.

Infinis, les repas du Café Riche sous la plume de Maupassant, de Zola où le champagne enivre, etc.