BookTrack bis.
N’en déplaise aux censeurs, ceux dont l’opinion reste sans fondement (cf les commentaires sur Ebouquin), l’expérience BookTrack est intéressante.
J’ai enfin trouvé comment lancer le titre, il faut quand il apparaît en haut de la table des matières pointer dessus.
J’ai lu quelques pages de 3 ouvrages dispos : The Selfish Giant, Ugly Duckling, Sherlock Holmes.
First ma lecture en anglais n’est pas fluently, j’ai donc ralenti le curseur à moins de 279 mots par minute.
Ensuite je me suis laissé allé aux trois modes simultanés : Ambiance, effets sonores et musiques.
La dernière ma vite dérangée, trop mièvre, elle n’est pas à mon goût. Elle est répétitive, j’adore Glass, mais n’apporte pas, dans les cas présents, grand chose au texte. C’est plus à mon sens un mauvais choix, pour des raisons économique peut-être. On peut la squeezer et rester avec les effets sonores et l’ambiance.
Seulement le feu dans la cheminé qui crépite, les gamins qui hurlent, les pas, ou le mec qui se mouche, tout est par trop conventionnel.
On le voit cette approche est délicate et paradoxalement j’aurai aimé entendre le texte, audio livre, et ne pas le lire.
Pour ma part j’ai choisi d’autres voies, laisser au lecteur la possibilité d’écouter ou pas la musique, et je ne me vois pas ajouter des coups de marteau quand dans l’atelier de Michel-Ange nous sommes.
Mais nous sommes aux balbutiements de l’hypermédia ? Apposer sur une œuvre ce type d’enrichissement est forcément risqué.
Mais c’est faisable, il faut y travailler encore et choisir des livres s’y prêtant. Dante nous invite souvent, dans sa Divine Comédie, à écouter des musiques, celle des troubadours ou sacrée. C’est là un gisement plus adéquate, mais il faut du temps et de l’argent.
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