Les Marches du Figaro ne sont pas les miennes.

L'autre Toscane sera un jour à la mode.
Moins fréquentée elle offre des trésors culturels notamment Urbino.
Vous pouvez en Tod's, en sandales précise l'article, arpenter les enceintes avec un podomètre comme Léonard (ça c'est moi) et visiter le palais ducale classé au patrimoine mondiale.
Si vous aimez les mystères, Loreto est un must.
Plus au nord, pour garder les pieds sur terre, Rimini en Romagne, avec Malatesta, Fellini et Pantani. C'est noir de monde mais il faut au moins une fois dans sa vie louer un transat sur une plage (le littoral appartient à l'armée) et ouvrir grand ses yeux, pour les oreilles c'est plutôt l'inverse.
Il y a Césène aussi et plus au nord encore Ravenne. L'exarchat de l'empire d'Orient est vraiment à tomber, mais bon mis à part le camping je n'ai pas d'adresse où trainer ses mocassins italiens.
Juste une parenthèse, le propriétaire de Tod's signe un chèque de 25 millions d'euros pour sauver le Colisée de Rome, respect même si etc...
Commentaires
Les endroits chics ne sont pas la richesse de cette contrée, ni d'aucune autre d'ailleurs, s'ils ne sont pas accessibles au public, et je regrette ce genre de reportage avec une approche culturelle a minima. Votre bouquin est superbe, mais ce luxe n'est pas le mien, ni celui de milliers ou centaine de milliers de personnes.
Urbin, classée au patrimoine mondial mérite toute notre attention, la casa Olivi non.
Cela dit le Fig Mag fait ce qu'il veut avec ses pages, son lectorat et votre travail.