Ken Follett et hypermédia
« Ce fut alors que le prisonnier se mit à chanter, d’une voix haute de ténor très pure…
Une alouette, prise au filet d’un chasseur,
Chantais alors plus doucement que jamais
Comme si les doux accents jaillis de son cœur
Pouvaient libérer l’aile du filet
A la tombée du jour le chasseur prit sa proie
Jamais l’alouette ne retrouva sa liberté
Les oiseaux et les hommes sont assurés de mourir,
Mais les chansons peuvent vivre à jamais. »
20 ans après, comment Ken Follett pour une édition sur Ipad des Piliers de la terre traiterait-il cette chanson ?
La laisserait-il en mode texte pur et dur ou bien utiliserait-il un enregistrement déjà existant, en produirait-il un ? On voit bien le roman capable lui aussi d’incursion hypermédia. Car aux paroles il manque l’air et cette voix de ténor pure.
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