Bali et les chamaedorea à tiges rouges
Bali, c'est loin, un peu trop une arrivée de nuit un peu pénible à Denpasar. Files d'attente pour le visa, l'entrée sur le territoire, la douane. Une fatigue réservée aux passagers des vols de masse dont la taille dépasse la moyenne calculée par les compagnies voyous. Un prix à payer pour un dépaysement à découvrir .
Direction Ubud en Toyota, les véhicules de marques françaises sont inconnues en Indonésie, en Indochine. Le 00 33 aussi, impossible d’appeler un numéro pas le réseau traditionnel, pas d’explication.
Janvier saison des pluies… fortes, températures douces, végétation luxuriante, le vert domine tout.
Le mot de passe pour le WIFI de la villa : MahabharataXX, un texte fondateur de la culture Hindou. Pas encore vu un hôtel en France imposant Exode_32_7 pour un accès au net… à confirmer.
Si le vert et la nature dominent, les arts plastiques s’insinuent dans les espaces laissés vacants. Statues, bas-reliefs, peintures, masques, danses, marionnettes et mini-temples pullulent. Partout l’art s’offre à nous, l’artisanat balinais semble résister à la bimbeloterie chinoise, pour combien de temps ?
Commentaires