Bali
Quand l'Asie te prend l'Asie ne te rend pas (Very Bad Trip). Je voulais revoir Bangkok et Angkor, seulement les tarifs aériens et hôteliers deviennent inaccessibles pour ma bourse, alors Bali s'est imposée. Je me souhaite pour 2023 un retour à meilleur fortune en vendant quelques oeuvres d'art conceptuel.
Revenons, à Ubud, une des villes de Mange, Prie, Aime. Comme nombre de personnes mes premières expériences de cette île indonésienne s'établissent via le cinéma : Toute la beauté du monde d'Esposito en premier, Barden et Roberts en second, et De Oost de Jim Taihuttu pour finir. Pour l'opus français, un scénario plutôt plat, acteurs plutôt nuls, à part Daroussin, des images superbes.
Pour le second, j'attends de voir les effets et répercussions sur la ville, si Ubud s'est transformée en musée holywoodien ?
Le dernier relate un pan d'histoire peu connu, la "pacification" de l'indonésie par des commandos de la mort hollandais après la seconde guerre mondiale. Violent, intéressant pour appréhender l'histoire moderne de cet archipel du bout du monde. Comme partout, les belles images cachent souvent des larmes et du sang et laissent des traces indélébiles, je présume. Deux visions diamétralement opposées, les deux premiers films sont a fourrer dans le même sac, ma préférence allant à ....
Commentaires