Scribd stats

Outre le nombre de lectures, près de 1 000 ce jour (je suis d'accord ça ne veut pas dire grand chose), le nombre de téléchargements (55 c'est déjà plus intéressant) et des mecs qui collent leur tronche sur votre page perso le site nous fournit des infos marrantes. Elles me rappellent une comparaison faite entre Victor Hugo, Shakespeare et le nombre de mots utilisés par chacun. L'anglais battait le frenchie à plat de couture.

Si vous jetez un oeil sachez que:
Le nombre de pages n'est pas significatif, Léonardo est au format 6''.
Le nombre de mots n'est pas intéressant sauf s'il s'agissait du nb de mots différents.
Le nombre de caractères est le seul qui soit fiable je crois, le nb de lignes est quasiment équivalent, je comprends pas.

La suite, le nb de lettres par mot. Leur base étant essentiellement anglaise c'est marrant cette quasi égalité. Plus de mots par ligne mais moins de  mots par page c'est pas cohérent. Je pense que ce sont les images qui foutent le bordel dans leurs stats, et pourquoi ?

Pour une raison : Appelons-la "Primat du blabla quantifié".
Smashwords nous l'explique assez bien, 70 % des ouvrages ne sont que du texte, donc les 30 % restant on s'en bat les ...vous savez quoi. Scribd accepte tout mais n'en tient pas compte, ils travaillent en mode "image".
Feedbook c'est pareil, le rendu est impeccable mais si vous n'avez pas écrit un roman: exit.
Les assembleurs de livrels ? Même combat, on singe le livre et le livre c'est avant tout un roman.
Cette approche analogique, un comble, est une impasse. C'est l'essence même de ce type de raisonnement, ses limites sont celles du modèle. 
Vous sortez du modèle, vous avez toutes les chances de surprendre le marché et vos concurrents.

 

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